Je pense que oui, il a lu le titre du fil et c'est justement pour cela qu'il attire ton attention sur le fait que oui, la licence a son importance, malgré ce que tu en penses. En effet, ta phrase « La licence n'est pas importante, pourvu qu'il y est une version propriétaire et qu'il est une version libre ou source disponible. » fait craindre de manquer le sujet.
En effet, quel intérêt de mettre à disposition du code que tu n'as pas le droit de modifier/redistribuer (à vérifier mais je ne suis même pas sûr que le cas existe d'ailleurs). Donc ça te semble « à la marge », mais vu ton sujet (intérêt d'ouvrir son code) il semble pertinent d'indexer tes résultats sur le type de licence utilisé :
- licence propriétaire / code source fermé
- licence propriétaire / code source ouvert (et donc est-ce que ça existe ?)
- licence libre / code source fermé (idem ?)
- licence libre + ou - permissive / code source ouvert.
Il peut-être en effet intéressant de mesurer l'impact d'une licence très permissive, type BSD ou MIT où des briques logicielles vont être très facilement réutilisée dans l'industrie (avantage ?), là ou les licences type GPL sont souvent mal vue, car rendant impossible la clôture d'un dérivé (en gros) (désavantage ?). Donc si, il est important de faire attention aux différents types de licence, sinon l'étude dans son ensemble risque d'être biaisée.
Enfin comme on ne connaît pas exactement le champ d'application de ton étude (économie, sociologie, informatique, ?) sa dernière remarque, dans une approche économique, est également pertinente : est-il plus intéressant de conserver un code fermé et vivre sur une économie de licence, ou d'ouvrir le code (par extension ne pas accorder d'importance au code lui-même) et se concentrer sur une économie de service/support ?
En espérant que cela t'aide à mieux saisir les tuyaux que l'on t'a apporté, pour éviter que tu ne répondes à nouveau assez abruptement aux personnes t'apportant un coup de main.
Enfin, une personne qui pourra sans doute discuter de tout cela avec toi, pour travailler depuis pas mal de temps sur des softs ouverts mais en vendant des licences, c'est Daniel Glazman, fondateur de
Disruptive Innovation et son éditeur
Bluegriffon.